Retrouvez dans cette section, toutes les réponses aux questions que vous pourriez vous poser en préparant votre voyage en Bolivie.
Les pourboires, toujours appréciés, sont soumis à votre libre choix et ne remplaceront jamais le salaire dû aux intervenants dans le cadre de nos circuits.
Cependant, et en Amérique du sud notamment, le pourboire est d’usage et son montant doit être représentatif de votre niveau de satisfaction.
A titre indicatif, un pourboire minimum serait en moyenne :
L’équivalent d’un café ou d’une bière au porteur de l’hôtel ou de l’aéroport.
Il est d’usage dans un restaurant de laisser 10% de votre note pour le service
Pendant votre escapade en Bolivie, nous vous accompagnons et pas qu’en pensée !
Nous savons exactement ou vous êtes et avec qui.
Les différents intervenants peuvent nous contacter à tout moment le cas échéant.
De plus, nous mettons à votre disposition un numéro de téléphone sur lequel vous pouvez nous joindre à tout moment de la journée.
Nous nous rendons toujours disponibles pour vous que ce soit pour un bon d’échange égaré, un conseil, un souci technique ou tout simplement l’envie de discuter du beau temps.
Vous trouverez des connections internet dans la plupart des villes. Cependant, le débit est plus lent que celui des standards européens (permettant difficilement de télécharger des photos).
La plupart des hôtels situés en ville propose du WI-FI.
Les médias français en Bolivie :
Pour appeler la Bolivie depuis la France : 00 + 591 + numéro en Bolivie.
Pour appeler la France depuis la Bolivie : 00 + code opérateur + 33 + numéro en France sans le 0.
Portables GSM : seuls les téléphones portables tri-bande vous permettront de passer ou recevoir des appels en Bolivie.
220 volts (rarement 110 volts sur des installations plus anciennes).
Prise électrique aux normes américaines (plate).
En dehors des hôtels et des villes principales, il vous sera difficile de recharger vos batteries car les hébergements fonctionnent le plus souvent avec un groupe électrogène.
Prévoyez donc des batteries de rechange.
Nous ouvrons une rubrique spéciale sur la sécurité en Bolivie, non pas parce que le pays est particulièrement dangereux, mais parce que certains incidents ou délits se répètent assez régulièrement sur le même modèle.
Avant toute chose, voyager en sécurité est avant tout une question de bon sens, et si vous ressentez à certains endroits un sentiment d’insécurité, c’est le plus souvent le manque d’habitude au contexte local qui en est la cause.
La Bolivie est un des pays les plus sûrs d’Amérique du Sud. A La Paz, cependant, signalons que de faux policiers en civil peuvent aborder les touristes, sous le prétexte d’un contrôle d’identité pour leur dérober papiers et argent. Ils leur demandent en général de les suivre dans un taxi. Sachez que la police locale n’est tout d’abord jamais en civil et qu’elle n’effectue jamais de contrôles d’identité dans la rue. Si des policiers vous abordent en vous demandant votre passeport, répondez-leur que vous êtes à l’hôtel pas loin et qu’ils peuvent vous accompagner à pied pour que vous alliez chercher votre passeport. Ne les suivez jamais, ne montez surtout pas avec eux dans une voiture « pour qu’ils vous accompagnent ».
Les autres recommandations sont habituelles : éviter les signes ostentatoires de richesse et si vous avez (ce qui devrait être exceptionnel) de grosses sommes sur vous, répartissez-les dans plusieurs poches.
Laissez votre passeport et votre carte de crédit à l’hôtel dans la mesure du possible.
Les hôtels avec qui nous travaillons sont de confiance.
Le soir ou la nuit, ne pas héler un taxi au hasard dans la rue mais demander à l’établissement où vous vous trouvez (hôtel ou restaurant) de vous appeler un radio-taxi.
Enfin, nous vous recommandons de rester à l’écart d’éventuels mouvements de protestation, qui peuvent bien sûr dégénérer, comme toute manifestation en Europe.
L’argent liquide est le moyen de paiement le plus répandu en Bolivie, surtout dès que l’on s’éloigne des grandes villes.
La manière la plus sûre de changer des devises (euros, dollars ou autres) en Bolivie d´utiliser les services de maisons de change, « Casa de Cambio » que l´on trouve facilement dans les villes.
Évitez de changer à votre arrivée à l´aéroport, les taux pratiqués sont bien moins intéressants qu´en centre-ville.
A La Paz et dans les grandes villes, vous pourrez retirer de l’argent liquide (en US$ ou en Bolivianos). Sachez cependant que le système bancaire local limite les retraits à 300 US$ par jour en général (parfois à 500 US$).
Où que vous soyez, prévoyez des petites coupures et de la monnaie car le change est un problème récurrent dans le pays.
Le décalage entre L´Europe et la Bolivie est de -6 heures (de mars à octobre) en été et -5 heures (de novembre à février).
Nous vous rappelons que l’aéroport de El Alto, sur lequel vous atterrirez si vous arrivez à La Paz, se trouve à 4.100 mètres d’altitude. La ville de La Paz s’étend de 3.400 à 3.800 mètres.
L’Altiplano bolivien s’étire quant à lui entre les cordillères Royale et Occidentale, autour de 3.800 mètres. Un séjour en Bolivie implique donc le plus souvent de longues périodes ou même un voyage entier au dessus de 3.500 mètres d’altitude.
Préparation d’un séjour en altitude
Il faut la demander :
Quelques conseils pour faciliter l’acclimatation :
Les risques liés à l’altitude, le mal aigu des montagnes (MAM) est le signe d’une acclimatation incomplète à l’altitude. Il touche les personnes à des degrés divers et on distingue en général trois stades :
Les signes cliniques, les troubles surviennent 4 à 8 heures après l’arrivée en altitude et le plus souvent à partir de 3 500 mètres, parfois plus bas. Ils se manifestent par des maux de tête (96 % des cas), des insomnies (70 %), une perte d’appétit (38 %) et/ou des nausées (35 %). Sont associés à ces manifestations un essoufflement de repos et parfois des vertiges. Cette « mal adaptation » peut également se traduire par une diminution du volume des urines et/ou l’apparition d’œdèmes localisés au niveau des yeux, des mains, des chevilles…
La gastronomie bolivienne est née du mélange de traditions indigènes et espagnoles et offre une riche diversité à travers les différentes régions du pays.
A La Paz, la journée commence par une croustillante maraquetta, proche de la baguette ou bien d´un api, une boisson chaude, épaisse et assez sucrée à base de maïs violet.
La salteña est l’incontournable en-cas du milieu de matinée avant le repas de midi, repas principal de la journée.
Méfiez-vous des portions – souvent très copieuses – proposées dans les restaurants, surtout en début de séjour en altitude.
Le plus souvent à base de viande et de pommes de terre, les plats locaux ne sont pas très épicés, par contre la llajwa, condiment à base de piments, que vous trouverez à votre disposition sur toutes les tables peut être… assez piquante.
Laissez-vous tenter par ces mots qui chantent : fricasé, fritanga, picante de pollo, chairo, charquekan (viande de llama séchée), le saice de Tarija ou bien le majadito, la spécialité de Santa Cruz.
Comptez- entre 6 et 12 US$ par repas et par personne (hors boissons). A signaler, d’excellents vins boliviens et une bière de quinoa.
Le climat en Bolivie est subtropical, et donc majoritairement chaud, de par la localisation du pays par rapport à l’équateur. Cependant, bien sûr, c’est surtout l’altitude à laquelle vous vous trouverez et surtout le moment de la journée (soleil ou pas) qui détermineront les conditions locales… et votre ressenti.
Les hauts plateaux (Altiplano) sont situés à plus de 3.000 mètres d’altitude entre la Cordillère des Andes et la Cordillère Occidentale. En plein hiver (de juin à août), les températures sont clémentes en journée et très froides à la nuit tombée. Il y a en effet une grosse amplitude thermique entre le jour et la nuit. Les précipitations restent rarissimes et le climat est très sec.
Les vallées inter-andines situées au centre du pays et à l’est de la Cordillère Royale sont plus humides et chaudes (altitude plus basse) mais les soirées d’hiver peuvent cependant être fraiches.
Le bassin amazonien, représentant environ 65% de la superficie du pays, est une terre de contrastes entre les étés torrides et les hivers caractérisés parfois par l’arrivée d’un « surazo » (vent frais du sud).
La période idéale pour se rendre en Bolivie reste la saison sèche de mai à octobre. Elle est synonyme de températures plus froides mais c’est aussi à cette époque que le majestueux ciel des Andes dévoile un bleu d’une intensité et pureté inoubliables.
En Bolivie les saisons sont inversées par rapport à l’Europe, il fait donc plus chaud en décembre qu’en juillet (l’hiver)
Chaque saison en Bolivie a ses avantages : la floraison de la quinoa en automne, l´effet miroir du Salar d´Uyuni en saison des pluies en été, les conditions idéales de l´hiver pour le trekking ou bien les acensions glaciaires. La question de la meilleure période pour partir ne se posant pas, seul votre emploi du temps et vos envies décideront du moment idéal pour découvrir la Bolivie!
Le visa n’est pas exigé aux ressortissants européens ne séjournant pas plus de 90 jours en Bolivie (par période de 12 mois calendaires). Les autorités boliviennes exigent que le passeport présenté soit encore valable 6 mois à compter de la date de l’entrée sur le territoire bolivien. Un cachet d’entrée valant autorisation de séjour de 30 jours est apposé sur le passeport à l’arrivée dans le pays. Cette autorisation peut être prolongée gratuitement à 90 jours par les services de l’immigration situés à La Paz.
Vous devez exiger l’apposition de ce cachet dès leur entrée sur le territoire bolivien, même par voie terrestre. En effet, dans le cas contraire, il ne leur serait plus possible de quitter le pays sans avoir fait régulariser votre situation et s’être acquitté d’une amende d´environ 3$us par jour de dépassement.
Si votre vol pour la Bolivie comporte une escale par les USA, il est impératif que vous soyez en possession d’un passeport individuel à lecture optique (reconnaissable au symbole de la puce électronique) ou d’un passeport à lecture optique émis au plus tard le 25 octobre 2005 (et en cours de validité).
Dans tous les cas, vous devez également obtenir une autorisation de voyage par le biais du Système Electronique d’Autorisation de Voyage (ESTA – Electronic System for Travel Authorization) : https://esta.cbp.dhs.gov
Pour les citoyens américains, un visa est requis. Il est valable 10 ans et autorise un séjour de maximum 90 jours par an. Le visa coûte 160$. Pour en faire la demande, vous trouverez la liste des éléments à fournir ici :
Il existe bien évidemment plusieurs manières de rejoindre la Bolivie
– Terrestre :
Depuis le Pérou : par les frontières de Desaguadero ou bien de Kasani en bus ou véhicule privé
Depuis le Chili : par la frontière de Hito Cajon / San Pedro de Atacama (extrême sud de la Bolivie) ou bien le poste frontière de Tambo Quemado / Chungara (qui connecte au Parc Sajama situé à l´Ouest de la Bolivie)
Depuis l´Argentine par les frontières de la Villazon / La Quiaca (qui connecte à la ville de Tupiza)
– Aérien :
Avec American Airlines avec escale aux USA (attention au passeport et à l’autorisation de voyage exigée par les USA.)
Avec Lan Chile ou Iberia via Madrid et Lima.
Avec Air France via Lima, Buenos Aires ou Santiago
Avec Iberia via Madrid et Sao Paulo
Air Europa de Paris à Santa Cruz de la Sierra via Madrid
Avec KLM via Amsterdam et Lima – conseillé au départ de Bruxelles ou Genève.
Quelle que soit la compagnie que vous choisirez, vous voyagerez sans doute une partie de votre trajet sur une compagnie sud-américaine, en général Taca ou Lan.
Du fait des nombreuses escales impliquées dans un vol vers la Bolivie, nous vous conseillons vivement de souscrire une assurance bagages et de prévoir le nécessaire pour les premiers jours sur place dans un bagage en cabine.
NB. La taxe aéroportuaire de 25 USD prélevée au départ de Bolivie est désormais intégrée dans le prix du billet d´avion.
Le vaccin contre la Fièvre Jaune est fortement recommandé pour les voyageurs se rendant en zone amazonienne (Béni, Rurrenabaque, Santa-Cruz ou bien le Pantanal bolivien).
Prévoir 1 injection au moins 10 jours avant le départ dans un centre de vaccination habilité. Celui-ci et obligatoire pour sortir de Bolivie vers le Brésil (même en transit).
La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est nécessaire. Autres vaccinations conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
Les autorités locales pouvant modifier ces prescriptions à tout moment (notamment en cas de recrudescence des cas d’infection dans le pays lui-même ou dans les pays limitrophes), il est conseillé de toujours vous renseigner auprès de l’Ambassade de Bolivie en France et/ou lire les « Conseils aux voyageurs » du site du ministère des affaires étrangères et européennes français (MAEE) avant votre départ.
Dans les années 1990, le réseau ferroviaire a été privatisé et à considérablement réduit l´usage ce moyen de transport.
Le train est très peu utilisé par les boliviens qui lui préfèrent le bus.
A l´Ouest, le réseau ferroviaire est exploité par la compagnie Ferroviaria Andina (www.fca.com.bo). Celle-ci propose le trajet au départ d´Oruro jusqu´à Villazón (frontière avec l´Argentine), avec arrêt à Uyuni et Tupiza. Cette ligne circule seulement 4 jours par semaine.
A l´Est, l´entreprise Ferroviaria Oriental (www.fo.com.bo) gère la ligne Santa Cruz – Quijarro (frontière avec le Brésil).
L´avion est le moyen de transport le plus pratique afin d´effectuer de longues distances.
Il faut compter 18h de trajet en bus entre La Paz et la ville Tarija (ville située à l´extrême sud du pays) contre 1h de vol.
Des liaisons aériennes sont assurées régulièrement entre les principales grandes villes du pays telles que Santa Cruz, Sucre, Cochabamba. Depuis peu, une nouvelle liaison La Paz-Uyuni a été ouverte permettant de pouvoir s´y rendre rapidement.
Les aéroports de La Paz et de Santa Cruz sont les deux seuls aéroports internationaux.
Il représente le transport le plus économique et le plus répandu en Bolivie.
Il y a différentes catégories de bus (avec ou sans couchette), il est possible suivant les véhicules de mettre les bagages sur le toit ou bien en soute, privilégiez les bagages en soute par mesure de sécurité.
Les bus circulent en général de nuit. Ils ne sont pas très confortables et ne sont pas chauffés.
Prendre son mal en patience car la ponctualité n´est pas le point fort de ce moyen de transport!
Le réseau routier n’est pas en bon état. Les axes asphaltés sont rares, les pistes sont mauvaises et nécessitent réellement de l’expérience en conduite et en mécanique (pour rejoindre les grandes villes, un vol intérieur est plus rapide mais plus onéreux). Pour se rendre dans des villages à l’écart des grands axes, optez pour un transport privé ou un taxi.
Il faut savoir que le réseau routier en Bolivie n´est pas aussi développé et en aussi bon état que ses voisins argentins ou chiliens. Lorsque vous voyagez en Bolivie, pensez donc plus en temps de route et non à des temps correspondant a des distances.
Si vous restez à La Paz, vous pourrez emprunter les minibus et les « micros » (vieux bus Dodge) dont la capacité semble infinie. Même bondé, celui-ci continue de claironner pour presser les éventuels passagers.
Des véhicules 4×4, généralement des Toyota Land Cruiser sont utilisés lors des expéditions dans des contrées reculées.
En effet, ces véhicules tout terrain encaissent très bien les chocs sur les nombreuses pistes en mauvais états présentes surtout dans la région du Lipez.
Ces véhicules sont équipés d´une bouteilles d´oxygène et d´un extincteur.
Les chauffeurs connaissent parfaitement ces pistes et savent gérer les problèmes mécaniques.
Un guide accompagnateur est quant à lui est prévu sur la totalité d´un voyage en Bolivie.
Il connait parfaitement les différentes régions de son pays.
Les guides locaux sont spécialisés d´une ville ou bien d´un site en particulier.
Ils auront à cœur de partager avec vous leur patrimoine.
Le spot
Par mesure de sécurité nos guides de trekking et de haute montagne sont équipés d´un appareil de géolocalisation. Cet appareil « Spot », envoie des données en temps réel sur la position GPS et aussi des messages d´alerte en cas de pépin.
Oxymètre et bouteilles d´oxygène
Tous nos guides disposent d´un oxymètre ou saturomètre. Ce dernier permet de contrôler le niveau d’hématocrite. Des bouteilles d´oxygène son également fournies pour tous les groupes en montagne (trek et/ou ascensions).
Pour les trekkings nous fournissons le matériel suivant :
Un guide de trek hispanophone ainsi qu´un cuisinier sont prévus pour un groupe allant jusqu´à 5 personnes.
A partir de 6 personnes un assistant guide et assistant cuisinier appuient l´équipe d´encadrement.
Si vous le souhaitez il est possible de demander un guide accompagnateur francophone qui s´ajoutera au guide de trek.
Durant les treks de longue durée, une équipe de muletiers se chargera du portage durant la totalité du circuit.
Ces équipes se renouvellent tous les 3 jours afin de faire travailler les différentes vallées parcourues.
Nous apportons un soin particulier à sélectionner et à proposer une alimentation variée durant vos aventures en montagne.
Avant de démarrer la journée de trek, l´équipe vous fournira un fruit, des barres de céréales, un chocolat et du yaourt pour pallier les petits creux durant la journée.
Les déjeuners alternent entre repas froid (jambon, avocat, salade composée ou bien d´un sandwich) et plat chaud (pates, riz, viande, truite…).
Nous fournissons de l´eau en bouteille ainsi que de l´eau bouillie. Si vous le désirez vous pouvez vous munir de pastilles de purification d´eau.
Des ravitaillements sont également prévus afin de garantir la fraîcheur des repas.
P.S : Le guide UIAGM emmènera avec lui une corde, pieux à neige, broches à glace, etc….
Une poignée jumar n’est pas nécessaire. Il n’est pas coutume en Bolivie d’utiliser des cordes fixes.
Il est possible de louer à La Paz de l’équipement spécifique à des escapades en montagne à Andean Base Camp (calle Illampu n° 863 – Tél : 246 37 82 – andeanbasecamp@hotmail.com).
Nous proposons des cordées de 2 clients maximum avec un guide certifié pour les voies normales.
Un guide UIAGM est ne prendra qu´une seule personne sur sa cordée pour les voies techniques et engagées comme la face Ouest du Huayna Potosi, la traversée de l´Illimani ou bien le pic nord de l´Illampu. Pour une personne seule, un guide IUAGM supplémentaire sera prévu par mesure de sécurité.
Ces ascensions très techniques sont destinées à des grimpeurs expérimentés, il est fortement recommandé d´avoir déjà effectué préalablement plusieurs ascensions classiques avec le même guide. En effet, cela permettra à ce dernier de cerner les forces et les faiblesses de son compagnon.
Vous trouverez toutes les coordonnées des guides et aspirant-guides boliviens certifiés UIAGM sur le site www.agmtb.org. Ces guides sont humbles et discrets : ils ne chercheront pas à vous en mettre plein la vue. Ils sont aussi et surtout très professionnels et passionnés : ils sauront vous accompagner dans la bonne humeur et en toute sécurité jusqu’aux plus hauts sommets de la cordillère Royale. Avec eux, vous serez entre d’excellentes mains…
En cas de problèmes, vous ne pourrez certainement pas communiquer avec vos téléphones portables. Si vous arriviez à émettre un signal, priez pour que votre contact soit le bon car il n’existe aucune structure officielle de secours en montagne en Bolivie. Seuls les guides de haute montagne certifiés UIAGM disponibles à ce moment-là et présents dans votre zone pourraient vous venir en aide rapidement. Mieux vaut donc partir avec des agences sérieuses capables de rester en communication avec vous.
Nous vous rappelons que beaucoup d´agences présentes dans la Sagarnaga ne proposent pas forcément de guides certifiés et ne respectent pas toujours les conditions de sécurité en trekking ou en haute montagne.
Si vous décidez de partir avec l´une d´entre elles, assurez-vous du matériel et des conditions proposées.
Les grands sommets de la cordillère Royale sont placardés dans toutes les vitrines des agences de trekking de La Paz, sur les rues Sagarnaga et Illampu. La forte concurrence oblige ces agences à « tirer sur les prix ».
Leur attractivité ne doit pas vous faire oublier quelques règles élémentaires de prudence, alors n’hésitez pas à vérifier les points suivants :
Le vaccin contre la Fièvre Jaune est fortement recommandé pour les voyageurs se rendant en zone amazonienne (Béni, Rurrenabaque, Santa-Cruz ou bien le Pantanal bolivien).
Prévoir 1 injection au moins 10 jours avant le départ dans un centre de vaccination habilité.
Celui-ci et obligatoire pour sortir de Bolivie vers le Brésil (même en transit).
Une incursion dans la jungle permet de découvrir la forêt tropicale avec sa végétation luxuriante située dans le parc Madidi. Vous verrez plus de plantes que d´animaux.
La Pampa est contrairement à la jungle une formation végétale composée principalement de plantes herbacées avec quelques arbres et arbustes. On s´y déplace en pirogue à moteur pour observer la faune locale avec des des piranhas, caïmans, toucans, perroquets, singes ou bien des dauphins roses.
L´Amazonie bolivienne plus sauvage, beaucoup moins touristique que sa voisine brésilienne, n´a pas cessé d´attirer naturalistes et anthropologues en raison de son exceptionnelle biodiversité et de ses fascinantes cultures indigènes. La localité de Rurrenabaque, située à 45 minutes à de vol de La Paz est le point de départ pour découvrir la forêt tropicale du Parc Madidi à l´Ouest et la Pampa située à l´Est sur les rives du fleuve Yacuma.
Dans la région du Lipez, il y a deux types d´hébergements : les « refuges » et des « ecolodge ». Ceux-ci se différencient surtout par un niveau de confort.
Les refuges
Les refuges, la solution la plus économique pour loger dans la région du Lipez ou bien dans le parc Sajama. Le confort y est très rudimentaire et il faut prévoir un bon sac de couchage car les nuits peuvent être glaciales, les températures extérieures peuvent descendre jusqu´à -20 degrés en hiver. Ces hébergements ne possèdent pas de chauffage et il n´est pas rare de dîner avec sa doudoune et un bonnet.
Les Ecolodges
Les écolodges proposent des logements respectueux de l´environnement, généralement situés dans des endroits naturels d´importance écologique. Ces logements s´appuient sur des systèmes qui réduisent la consommation d´énergie et améliore la gestion des déchets. En plus de compter sur des programmes d´intégration social avec les communautés environnantes, ces hébergements proposent une alternative confortable.
NB : En Bolivie, il n´y a pas ou très rarement des nuitées prévues chez l´habitant.
Bien évidemment, il existe différentes catégories d´hôtels en Bolivie.
Il faut savoir que ces catégories n´ont parfois pas d´équivalence avec celles proposées en Europe.