Cordée insolite en Cordillère Royale

Accueil à l’aéroport et transfert à l’hôtel (disponible à partir de midi. Nous consulter pour disposer de la chambre dès le matin). Reste de la journée libre.

Départ pour rejoindre dans un premier temps, le mirador de K’Illi K’Illi qui offre une magnifique perspective de la Paz ainsi que du majestueux Nevado Illimani. Puis, descente dans la zone sud. Rencontre avec Ramon Tito, sculpteur et aquarelliste « paceño », dont l´atelier est situé dans la justement nommée... "Avenida del Esculptor". Le sculpteur travaille surtout la pierre qu'il va chercher dans les montagnes environnantes. La région de La Paz en regorge, au-delà des argiles de la Vallée des Ames, dans tous les lieux bien cachés que connaît le sculpteur : basalte, marbre, grès, albâtre, granite... Il réalise ensuite, selon la forme de la pierre qu'il a trouvée, des œuvres qui portent en elles l’identité bolivienne. Départ à pied depuis l’atelier pour remonter le Canyon du Pedregal (3600 m alt.). Montée tranquille, au milieu de statues naturelles impressionnantes, jusqu’à un col qui s’ouvre sur "El Valle Escondido" (le val caché). Poursuite tranquille jusqu´au village situé au pied de la Molaire du Diable. Possibilité pour les plus sportifs de descendre par des crêtes jusqu’aux premières maisons au-dessus du quartier de Calacoto (1h30 de marche supplémentaire). Pour finir cette belle journée, après-midi consacrée à la découverte à pied des marchés colorés et du centre historique de la ville de La Paz.

Départ le matin pour rejoindre le petit village de Santiago de Okola niché au bord du Lac Titicaca. Après avoir passé le village d’Achacachi, nous poursuivons vers le nord en direction de Carabuco. Après 4 heures de route depuis La Paz, nous arrivons dans ce petit village niché dans une splendide baie dominée par une colline nommée le Dragon Endormi. Le lieu est juste magique et paradisiaque avec sa plage aux eaux cristallines. A votre arrivée, vous serez accueillis chaleureusement par une des 12 familles de la communauté. Nous démarrons cette journée par un délicieux Apthapi, déjeuner traditionnel dans les campagnes. La tradition veut que, lors d’une rencontre entre villageois, chacun apporte des mets locaux, galettes, beignets, sablés de quinoa, maïs, pommes de terre etispis (petits poissons frits du lac) et l’on partage le déjeuner en toute convivialité. Après le déjeuner, nous partons à la rencontre d’une tisserande du village, sympathique petite grand-mère, qui va nous faire une démonstration du tissage traditionnel. L’exercice n’est pas simple, mais elle fait preuve de beaucoup de patience pour nous enseigner le maniement de l’os de lama et du métier à tisser. Nous restons impressionnés par sa dextérité et la beauté du tissage. Il faut parfois un mois pour tisser un aguayo, tissu traditionnel andin. Après cette jolie rencontre nous partons en balade au Dragon Endormi. Nous montons par le Nord de la colline. La montée se fait tranquillement. Il faut se frayer le meilleur chemin au milieu des arbustes et des rochers. Une fois au sommet (4050m), le panorama est superbe. La vue est dégagée sur le Lac, véritable mer intérieure, et la baie de Santiago. A l’autre bout, on découvre une autre petite colline et une petite île appelée La Tortuga que nous découvrirons le lendemain. Le lieu se prête à la contemplation. Nous restons donc là à admirer le paysage pendant un long moment. Puis, nous attaquons la descente, sur l’autre versant, en direction de la tête du Dragon, plein Sud. Nous passons par une jolie grotte avant de rejoindre le village. Vraiment une très belle randonnée à ne pas manquer !

Départ le matin pour une jolie randonnée sur les rives du Lac Titicaca jusqu’à l´Ile de La Tortuga, située à l’autre bout de la baie. Avant de rejoindre la plage, nous visitons le petit musée aménagé dans l’école du village. Puis, nous rejoignons la plage pour longer le lac jusqu’à l’île de La Tortuga (environ 3,5 kms). Très belle et très agréable balade le long du rivage. Nous pouvons observer toutes sortes d’oiseaux, canards, oies andines et même des flamants roses. Nous prenons le temps pour rejoindre l’île tant les paysages sont splendides. L’île de la Tortuga est désormais accessible à pied. Notre guide nous explique que, quand il était jeune, il n’était pas possible d’accéder à l’île à pied. Le niveau du Lac a baissé considérablement depuis quelques années. Nous profitons donc pour nous balader au sommet de cette petite île et savourer une fois de plus la vue sur la baie. Retour par le même chemin. Sur le retour, il est possible de rejoindre l’autre bout de la baie, au niveau du village, afin d’aller observer les peintures rupestres, sur les rochers au pied de la tête du Dragon. Après un déjeuner andin à base de quinoa, nous devons laisser à regret notre hôte pour reprendre la route pour rejoindre La Paz.

Départ le matin pour la Laguna Khotia. Rencontre avec notre équipe de muletiers. A partir de la Laguna Khotia, le sentier sera bien marqué. Ce tracé jusqu’à la Laguna Chiarkhota est le plus connu de la Cordillère Royale. Nous entamons la journée en remontant plein sud à flanc de montagne. Nous arrivons alors au col Paso Contador (4760 m alt.) qui offre une belle vue sur une large vallée qui s’enfonce vers les sommets vers l’est. On y aperçoit un grand lac nommé Alka Quta au niveau de l’ancienne mine Palcoco. C’est par cette vallée qu’il est possible de rejoindre le refuge Santos de la communauté Qala Uta par le Paso Chiqapa. Pour notre part, nous continuons notre chemin qui longe la Cordillère. Nous descendons alors dans la vallée, traversons une zone semi marécageuse, à proximité de la laguna Surakhota (4410 m alt.) avant de poursuivre face à nous, direction sud-est. Il nous faut alors remonter à flanc de montagne avant d’atteindre la laguna Ajwani (« lagune des oiseaux », 4615 m. alt.).

La Laguna Ajwani est un joli lac où se nichent de nombreux canards. Le lieu est à la fois beau et reposant et incite à la contemplation. Il nous faut cependant poursuivre notre route. Nous partons direction sud-est à flanc de montagne. Nous aurons encore de belles perspectives sur le Lac Ajawani avant de basculer dans la vallée suivante. Nous parvenons alors au Col Milluni situé à 4910 m alt. avant de descendre sur la Laguna Sistaña (4670 m alt.). Du col, le Huayna Potosi et sa fameuse face ouest nous apparaît désormais bien proche. Nous poursuivons notre chemin vers le sud-est, face à nous. Nous remontons à un deuxième col, le Paso Janchallani situé à 4885 m alt. Nous découvrons alors le massif du Condoriri, un des plus beaux glaciers de la Cordillère. Nous descendons ensuite jusqu’à la Laguna Jurikhota (4700 m alt.) nichée dans une vallée encaissée. La Tête et l’Aile Gauche du Condor dominent le lac. Nous devinons le chemin qui longe la Lagune sur la gauche et remonte par la moraine jusqu’au pied du glacier. Les vues sont à couper le souffle ! La journée du lendemain s’annonce splendide.

Nous attaquons cette journée en longeant le lac, direction nord-est, par sa rive droite pour rejoindre la moraine. Puis nous nous hissons jusqu’à la Laguna Congelada à 4880 m d’altitude. Le lieu est tout simplement magique. Le lac est splendide, le glacier du Condoriri finit sa course dans ses eaux turquoise. Les parois verticales de l’Aile gauche et de la Tête du Condor semblent effrayantes depuis notre sentier. Une longue pause s’impose pour contempler ce lieu avant de poursuivre notre chemin. Nous obliquons alors sud-est pour grimper dans les rochers sur notre droite en direction du col. La montée est assez escarpée et nécessite de s’aider des mains et d’être vigilants. Nous arrivons au Col Austria situé à 5140 m d’altitude. S’il vous reste encore quelques forces, il est fortement recommandé de faire un crochet par le Pic Austria avant de basculer dans la vallée suivante. C’est le pic rocheux qui domine le col sur votre droite. Il fait face au Condoriri. Il culmine à 5300m d’altitude. Il faut affronter une raide montée dans un pierrier, mais l’effort en vaut la peine. Ce Pic Austria est un véritable mirador pour le Condoriri. Les vues sont imprenables sur le massif glaciaire. Et la descente dans le pierrier est un vrai plaisir ! Il ne nous reste plus qu’à descendre direction sud-est depuis le col pour rejoindre la Laguna Chiarkhota (4680 m alt.), camp de base du Condoriri et du Pequeño Alpamayo.

Ascension sans difficultés techniques hormis la pente finale depuis le Pic Tarija (AD+/II). Départ dans la nuit (vers 03h00 du matin). Marche d’approche jusqu’au fond de la vallée (1 heure) pour rejoindre le glacier situé à 4805 m alt. Montée tranquille en une bonne heure sur le dôme jusqu’à un col (5245 m alt.) situé au-dessus de la rimaye. Ascension plus raide jusqu’au Pic Tarija (5320 m alt.) (2h30 à 3h00 depuis le camp de base). Vue splendide sur l’arête sommitale. Descente sur une partie rocheuse (environ 50m) avant de monter l’impressionnante pente finale (50/55º). 5 à 7 heures d’ascension depuis le Camp de Base. 3 heures de descente jusqu’au camp par le même chemin.

Descente tranquille jusqu’à la Rinconada. Transfert en véhicule 4x4 (2 heures de route) jusqu’à la Laguna Khotia. On poursuit au Nord-Est jusqu’à la Laguna Janq’uQuta (4715 m alt.) située au pied du Paso Mullu. On établit le campement au bord de la Lagune. Le campement pour réaliser l’ascension du Janq’u Uyu se situe un peu plus haut, vers 4900 m d’altitude, à un col. Ce dernier étant très venté, il est préférable de dormir plus bas et de monter en véhicule dans la nuit pour rejoindre ce col. Après-midi : Randonnée d’acclimatation. Le véhicule nous amène en 30 minutes au pied du Cerro WilaLluxita. Ce massif encore glaciaire, mais pas pour beaucoup de temps, sépare la vallée en deux, le Paso Mullu d’un côté qui descend vers la Mina Fabulosa au sud-est et un autre col plus au nord-ouest qui rejoint le versant tropical de la Cordillère et les massifs de Las Tres Marias et Negruni. Le véhicule nous arrête vers 4960 m d’altitude. Montée escarpée dans les rochers pour rejoindre le glacier. On longe tranquillement les crêtes orientées ouest-est par le glacier pour atteindre le sommet du Cerro WilaLluxita qui culmine à 5245m. Belle vue au Nord-Ouest sur le Janq’uUyu, objectif du lendemain, et sur l’impressionnant Janq’u Laya. Plus au Sud-Est, c’est le glacier du Mullu Apachita qui se découvre.

Ascension sans difficulté technique pour la partie glaciaire et quelques passages techniques et engagés sur la partie en rochers (PD/I et IV/V en rocher). Départ vers 04h00 du matin en véhicule 4x4 pour rejoindre en une demi-heure le fameux col venté situé à 5000 m d’altitude. On part direction nord-ouest. Marche d’approche délicate dans un chaos rocheux jusqu’au bord du glacier que l’on atteint en 1h30. Montée très tranquille, toujours nord-ouest, sur le dôme glaciaire aux jolies formes arrondies. Nous atteignons le sommet après 3h30 de marche depuis le départ. Ce sommet ne présente aucune difficulté technique et les pentes sont très douces (35º/40º maximum). Le point culminant du Janq’uUyu est perché sur une magnifique corniche dominant les crêtes de ce massif glaciaire vers le nord-ouest. La vue est splendide sur les parois vertigineuses du Chachacomani , du Cerro Jakocire et de l’Imasiña au nord-ouest au nord-ouest, et sur le Huayna Potosi plus au sud-est. La paroi sud-ouest du Janq’u Laya est aussi impressionnante depuis le sommet. Nous avons alors le choix entre redescendre par le même chemin et retourner dormir à la Laguna Janq’u Quta, ou poursuivre par les crêtes vers le nord-ouest, et redescendre dans la vallée vers le Sud-Ouest afin de dormir à la Laguna Leche Khota. Il nous faudra alors deux heures pour traverser ces arêtes effilées et parfois exposées. Nous devrons aussi affronter un passage technique et escarpé en rocher pur. Puis nous descendons tranquillement sur le glacier vers le Sud-Ouest au pied di Pic Jisk’aPata en une heure supplémentaire. Il nous restera plus qu’à poursuivre à flanc de colline jusqu’à la jolie Laguna Leche Khota nichée au pied du Pic Jach’a Pata. Très beau campement idyllique au bord des eaux turquoise du Lac.

Ascension sans difficultés technique hormis la pente finale (AD+/II). Le campement est niché au pied d’une barre rocheuse granitique. Un col enneigé sépare deux Pic principaux. Celui de droite, orienté nord-ouest, est le plus haut. Il s’agit du Pach’aPata qui culmine à 5650m d’altitude. Départ le matin vers 05h00. Montée vers le sud-ouest en direction de la barre rocheuse. Progression dans les rochers jusqu’au Lac supérieur. Puis poursuite dans un chaos rocheux jusqu’au bord du glacier que l’on atteint après une heure de marche. Montée assez tranquille jusqu’au col situé à 5510 m d’altitude, par des pentes inclinées à 45º/50º (une heure depuis le bord du glacier). Une belle pente inclinée à 60º/65º nous attend pour gravir les 150 derniers mètres de dénivelé. Il nous faudra encore une heure pour arriver au sommet. Vue à couper le souffle jusqu’au nord-ouest de la Cordillère, jusqu’au massif de l’Illampu et de l’Ancohuma, en passant par le Chearoco et le Chachacomani. Superbe ! On peut aussi admirer l’ensemble des crêtes du Janq’u Uyu que nous avons traversées la veille. Et le Wara Warani nous présente sa facette rocheuse. Descente par le même chemin jusqu’au camp.

Ascension sans difficultés technique pour la partie glaciaire et quelques passages techniques et engagés sur la partie en rochers (PD/II et IV/V en rocher). Depuis la Laguna Leche Khota, nous partons plein Ouest dans les rochers. Nous rejoignons un plateau qui surplombe la vallée glaciaire et va nous mener au bord du glacier en moins de deux heures, vers 5310 m d’altitude. De là, nous montons tranquillement vers un énorme plateau glaciaire qui sépare le Janq’u Uyu du Chachacomani. Les crêtes du Janq’uUyu se dessinent derrière nous au lever du jour. On arrive alors à un premier petit sommet vers 5455m d’altitude. La vue est à couper le souffle sur 360º. Plus au nord, le massif glaciaire nous amènera jusqu’aux impressionnantes arêtes du Cerro Umasiña. Nous poursuivons notre route en suivant la ligne de crête. Après un deuxième petit sommet, situé à 5505 m d’altitude, il nous faudra passer un passage exposé en rocher. Une fois la difficulté passée, nous descendons dans une vallée glaciaire (5410m) avant de remonter à notre ultime col, situé à 5600m au pied des arêtes de l’ Umasiña. De là, vous pouvez choisir de descendre tranquillement par le glacier jusqu’à la vallée du Chachacomani et son camp de base. L’autre option, plus aérienne, est de se hisser sur les crêtes de l’Umasiña et de les longer pour redescendre au-dessus du camp de base du Chachacomani. Attention, cette variante est très exposée et engagée sur les arêtes rocheuses.

Depuis le camp, nous partons direction nord-ouest vers la vallée perpendiculaire. Nous prenons rapidement de la hauteur. Nous arrivons dans une jolie combe serpentée par un ruisseau (4700m). Nous poursuivons jusqu’au fond vers 4775m avant de monter sur une pente bien raide plein nord. Nous attaquons alors cette ultime montée dans un chaos rocheux. Nous arrivons au bord du glacier. L’endroit est magique pour établir le campement (5130m).

Ascension sans difficultés techniques mais assez engagée (PD/III). Départ dans la nuit (vers 01h00 du matin). Depuis le camp haut, nous prenons pied sur le glacier. Notre progression se fait tranquillement direction nord-est sur un gigantesque plateau crevassé. Il nous faut trouver le meilleur chemin parmi les gigantesques crevasses pour arriver au pied des arêtes du Chachacomani. Nous prenons alors pied sur ces crêtes et les longeons plein Est pour arriver au sommet principal. Les pentes se font alors un peu plus raides, mais sans jamais dépasser les 45º. La vue depuis l’arête sommitale est à couper le souffle du nord au sud de la Cordillère. La descente se fait sans problème par le même chemin. Retour au camp de base dans l’après-midi 5 à 6 heures d’ascension depuis le Camp haut. Descente jusqu’au camp d’altitude (2h00). Redescente au camp de base (2h00). Nuit au camp de base.

Retour au village de Cruz Pampa et transfert en véhicule jusqu’à La Paz.

Journée libre pour découvrir la ville de la Paz.

Départ pour le petit village de Pinaya (3880 m alt.) au pied du massif de l’Illimani. Rencontre avec l’équipe de muletiers et porteurs. Montée tranquille jusqu’à Puente Roto, camp de base de l’Illimani.

Montée progressive sur les flancs de l’Illimani. Ascension jusqu’au Nid des Condors (5500 m alt.) par une longue arête rocheuse très escarpée. Nous commençons par suivre un chemin agréable, bien tracé, longeant le pic Nord et Central de l’Illimani avant de traverser un plateau sillonné de ruisseaux puis une curieuse moraine orangée! Nous marchons en compagnie des porteurs, montant et descendant sans relâche entre le camp de base et le camp haut. Quelques zigzags et nous prenons pied sur une arête rocheuse à 4950 m. La suite est plus délicate et demande de l’attention. Longue montée, par endroit escarpée, alternant passages rocheux où il faut s’aider des mains et courts sentiers, jusqu’à atteindre le Nido de los Condores, le nid du Condor Campement au bord du glacier.

Ascension un peu technique et engagée (AD+/IV). Départ dans la nuit (vers 01h00 du matin). Montée progressive le long de l’arête enneigée sur des pentes assez raides (45º/50º). La montée ne présente pas de difficulté technique, mais est très soutenue. La paroi est en outre sur le versant Ouest. Même au lever du jour, le soleil restera caché derrière les crêtes sommitales. Il faut être donc très bien équipé pour affronter le froid. Vers 6300 mètres d’altitude, nous arrivons sur un un plateau glaciaire entre le Pic central et le Pic Sud. Après une pause bien méritée au soleil cette fois-ci, nous obliquons à droite pour suivre l’arête sommitale, direction sud-est. La dernière montée est raide (55º) avant d’arriver au sommet. Arrivée sur la longue arête sommitale. 7 à 8 heures d’ascension depuis le Nid du Condor. Redescente au camp de base Puente Roto (5 à 6 heures environ).

Descente sur le village de Pinaya et retour à La Paz en véhicule privé.

Départ de l´hôtel en véhicule privé pour un transfert jusqu`à l´aéroport de La Paz (3 heures avant l’heure du départ international).